La SCAM officialise la bourse Premier Rêve LCP sur le Sunny Side !

Depuis 1992, la SCAM aide les jeunes auteurs et autrices avec les bourses Brouillon d’un rêve, pour développer des projets documentaire en cours d’écriture. Parmi l’ensemble des projets de premiers films documentaires soutenus par la Scam sur une année, une bourse complémentaire dotée par LCP-Assemblée nationale sera désormais attribuée par un jury LCP-Assemblée nationale / Scam !

“Cette bourse s’inscrit dans notre désir de sans cesse faire mieux et dans la prolongation de notre démarche d’accompagnement des jeunes talents”, souligne Isabella Pisani, Responsable de l’unité Documentaire chez LCP-Assemblée nationale .

En qualité de coproducteur et primo-diffuseur, LCP-Assemblée nationale s’engage à un apport de 25 000 euros en numéraire sur un projet déjà accompagné d’une société de production et porté par un auteur dont ce sera la première oeuvre.

« Je me réjouis de ce partenariat qui met en avant ce à quoi la Scam tient tout particulièrement, à savoir l’aide à l’écriture des films documentaires, et, je remercie Bertrand Delais ainsi que l’équipe de LCP pour leur engagement tout à fait remarquable auprès des lauréats des bourses Brouillon d’un rêve qui peuvent ainsi voir leur rêve devenir réalité et trouver leur public. »

« Cette bourse 1er rêve obéit à deux impératifs : En premier lieu, permettre à LCP, en tant que diffuseur, de soutenir le travail de La Scam auprès des auteurs. En second, grâce à ce formidable vivier de nouveaux talents, offrir aux téléspectateurs de LCP une sélection de programmes exigeante et sans cesse renouvelée, qui trouvera naturellement sa place parmi l’offre documentaire de LCP. » complète Bertrand Delais, directeur général de LCP-Assemblée nationale…

Le premier lauréat de la Bourse Premier Rêve LCP-Assemblée nationale / Scam

Le premier lauréat de cette bourse, sélectionné par la Scam, s’appelle Clément Pérot-Guillaume.  Avec son documentaire Orages, il développe un projet attachant dont voici le synopsis…

…Un après-midi de fin d’été dans un quartier de banlieue, quelque part dans le nord de la France, en périphérie de la mer. Des enfants et des adolescents errent en bas des tours, entre les immeubles et les terrains vagues, sous le soleil et les cris des mouettes. Ils tuent le temps qui s’écoule, se parlent d’amour, de doutes et d’espoirs, tentent de comprendre ce qui les anime.